dimanche 24 mars 2013

Le pouvoir du rouge à lèvre

Je me sentais d'humeur à consacrer un article à un accessoire qui m'est aujoud'hui indispensabe. Au début, c'est un peu difficile de s'assumer, on a l'impression que notre bouche est énorme et que tout le monde l'a regarde. Mais en fait, non. Et puis, si vous avez un petit complexe par rapport à la teinte naturelle de votre bouche, vous avez trouvé votre allié.
Je ne me ne me maquille quasiment plus que les lèvres. Je trouve qu'un rouge se suffit à lui même. Et vous?


Ultimate Color 160, Catrice



Rouge à lèvre d'une boite à cadeau "Markwins International"

dimanche 10 mars 2013

Rencontre avec le CEC à la foire du livre


Ce week-end, je me suis rendue à ma toute première foire du livre. Ce fût une expérience amusante mais quelque peu frustrante. Je m'explique : j'adore trainer dans les bibliothèques et les librairies mais je rêverais d'emporter tous les livres qui me plaisent. Alors me retrouver dans une énorme salle remplie de BD et de romans, c'est une agréable torture pour moi.

Mais cette foire, ce n'est pas juste l'occasion de renifler des bouquins, c'est aussi celle de rencontrer des écrivains. J'ai eu l'occasion de discuter avec deux auteurs très sympathiques que je ne manquerai pas de lire durant les prochains mois.
Céline Nannini (à gauche) qui signe cette année son premier roman: jeune fille vue de dos. Et Dany Laferrière, grand écrivain haïtien.
 

Mais la véritable raison de ma venue, c'était la visite d'un stand : celui du CEC. C'est une ONG a pour mission de déconstruire les stéréotypes et les préjugés du continent Africain. Pour venir à bout de ceux-ci, plusieurs projets ont été mis en place.
  • La création d'une bibliothèque de livres axés sur des auteurs africains et afro caribéens.
  • La création d'animations pédagogiques destinées à des écoles.
  • Et la mise en place de projets, de campagnes et de rencontres entre les auteurs et le public.
Les amoureux de littérature africaine et les curieux pourront assouvir leur soif de savoir en se rendant au CEC. Une adresse à marquer au fer rouge dans son agenda.

Infos pratiques: 
19 F, avenue des Arts
Bruxelles
1000











lundi 4 mars 2013

Le féminisme et l'éthique du care

Si il y a bien une croyance partagée positive que subissent les femmes, c'est celle de leur capacité à faire preuve de sollicitude. Contrairement aux hommes, dès le plus jeune âge, elles prennent soin de leurs poupées, cuisinent.... Tandis que leurs homologues masculins sont très vite poussés vers les jeux de guerres ou de voiture à grande vitesse. Très loin, donc, des valeurs du «care » imposées à la femme dès le plus jeune âge. Cette philosophie venue du monde anglo-saxon qui pourrait se traduire par « le soin », « la sollicitude » ou « l’attention aux autres »… remet en question la perspective des choses. «L'activité est chez nous associé au masculin, le féminin étant considéré comme passif. (...) Ce qui demeure, c'est que partout, les valeurs attribuées au féminin sont dénigrées par rapport aux hommes. » En associant les actions habituellement réservées aux femmes à des actions positives et importantes dans la société, on sort du cliché sexiste. Si passer l’aspirateur, s’occuper de son conjoint ou de ses enfants est considéré comme étant les valeurs primordiales de notre société, les rapports de force vont changer et s’équilibrer.


Le care, un déni du féminisme ?
Ce n'est pas un déni du féminisme mais bien « une nouvelle vague féministe venue des États-Unis qui renverse cet égalitarisme et revendique la supériorité des valeurs morales féminines. » Le féminisme quant à lui est une « pensée qui cherche à améliorer le statut des femmes dans la société ayant une tradition basé sur l'inégalité des sexes. » Ici, la politique du care n'impose pas à la femme de devenir l'égal de l'homme en se battant pour avoir le même statut que lui (économiquement parlant). Au contraire, le but est de valoriser les fonctions dîtes plutôt féminines. C'est une modification radicale du mode de pensée occidentale. Tout est à repenser. Dans ce type de société, le capitalisme, les crises, les traders... ne pourraient plus exister. Un footballeur gagnant plus qu'un enseignant ? Impossible ! Reste à voir si cette utopie est réalisable...



samedi 2 mars 2013

Des tableaux qui disent tout

Aujourd'hui, je fais un post déco. Ce samedi après-midi, j'ai fait le tour d'une petite boutique à Bruxelles. C'est le Wibra, le magasin socialiste, comme dirait mon père. On y trouve de tout pour pas presque rien.Voilà deux tableaux originaux qui vont me donner le courage dont j'ai besoin en ce moment. Ils ont dû me coûter deux ou trois euros au grand maximum.




La vie n'est facile pour personne, j'en ai bien conscience mais parfois, il est important de se rappeler à quel point elle est belle. J'essaie de me concentrer sur mes proches et sur tous les jolis cotés de la vie que j'ai tendance à oublier. ( Surtout l'hiver) Redécorer son chez soi, ce n'est pas grand chose mais qu'est-ce que ça fait du bien!
Passez un bon week-end ! 
Bisous